
Visite du DG de l’INSP au COUSP dans le cadre de l’élaboration du Plan de réponse à la Maladie à Virus Ebola

L’Afrique s’unit pour renforcer ses systèmes de santé : la RDC active à la 75ᵉ session du Comité régional de l’OMS

Remise officielle des écrans de visualisation des données au Centre des Opérations d’Urgences de Santé Publique

Africa CDC équipe le pays pour renforcer la collecte de données épidémiologiques

Remise officielle des matériels du projet CODPHIA à l’INSP : Un appui stratégique des États-Unis à la gouvernance sanitaire en RDC

Lancement officiel du Bulletin de Santé Publique et de l’Annuaire Électronique de Recherche en Santé Publique de la RDC

Le DG de l’INSP, Dr Mwamba Kazadi, participe à une session historique de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève
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Message de réconfort du Directeur Général de l’INSP à la population de Kinshasa, à la suite des intempéries des 4 et 5 avril 2025

Signature d’un partenariat stratégique entre l’Institut National de Santé Publique et la firme Roche

Lancement de la campagne de vaccination contre la MPOX à Kinshasa : une étape décisive

Remise officielle de 100 000 doses de vaccin contre la Mpox : la France soutient la RDC dans sa riposte épidémique

La cérémonie de la remise officielle des équipements et des réactifs de laboratoire.

Les premiers flacons du VACCIN LC16m8, contre la M-pox destiné aux enfants, déjà à Kinshasa.

Comment se protéger contre la MPOX ?
Usage I
Lavez-vous régulièrement et correctement les mains à l'eau propre et au savon, ou utilisez régulièrement le gel hydroalcoolique.

Comment se protéger
contre la MPOX ?
Usage II
Evitez tout contact physique et sexuel avec une personne qui présente les signes de MPOX.

Comment se protéger
contre la MPOX ?
Usage III
Utiliser le préservatifs lors de tous les contacts sexuels occasionnels (vaginal, anal ou oral)

Institut National de Santé Publique
Contribuer à la réduction de la charge de la morbidité et de la mortalité en République Démocratique du Congo en assurant efficacement la prévention, la détection et la riposte contre les épidémies et les autres urgences sanitaires.

Centre des opérations d'urgence de santé publique (COUSP)
Développer et de superviser la mise en œuvre des stratégies de préparation et de riposte, ...

Comment se protéger contre la MPOX ?
Usage I
Lavez-vous régulièrement et correctement les mains à l'eau propre et au savon, ou utilisez régulièrement le gel hydroalcoolique.

Comment se protéger
contre la MPOX ?
Usage II
Evitez tout contact physique et sexuel avec une personne qui présente les signes de MPOX.

Comment se protéger
contre la MPOX ?
Usage III
Utiliser le préservatifs lors de tous les contacts sexuels occasionnels (vaginal, anal ou oral)

Institut National de Santé Publique
Contribuer à la réduction de la charge de la morbidité et de la mortalité en République Démocratique du Congo en assurant efficacement la prévention, la détection et la riposte contre les épidémies et les autres urgences sanitaires.

Centre d'opérations d'urgence de santé publique (COUSP)
Développer et de superviser la mise en œuvre des stratégies de préparation et de riposte, ...

Prévenir les maladies chroniques : des gestes simples pour une vie en bonne santé
A propos de l'Institut National de Santé Publique
L'Institut National de Santé Publique (INSP) est un établissement public à caractère scientifique et technique.
- Contribuer à l'amélioration de la santé de la population
- Veiller à la santé publique
- Promouvoir des modes de vie
Coordonner et s’assurer de l’efficacité de la prévention
L’Institut National de Santé Publique a pour objet de mettre à la disposition des programmes, de la société civile et des décideurs, l’information, les compétences et un cadre de riposte performant dans le but d’assurer efficacement la prévention, la détection et la riposte contre les épidémies et autres urgences sanitaires.
Situation épidémiologique
Depuis le début de l’épidémie, un total de 64 cas ont été rapportés, dont 53 confirmés et 11 probables. Parmi ces cas, 42 décès ont été enregistrés, représentant une létalité globale de 65,6 %. À ce jour, 31 personnes ont été déclarées guéries après traitement. Les aires de santé de Bulape Communautaire et de Dikolo restent les plus affectées depuis le début de la flambée.
Concernant la prise en charge médicale, 33 patients étaient hospitalisés le 03 octobre, dont 8 cas confirmés et 25 cas suspects. Le taux d’occupation des lits est de 40 % pour les confirmés et 56,8 % pour les suspects. Durant la même journée, 14 nouvelles guérisons ont été enregistrées grâce au traitement spécifique administré dans les Centres de Traitement Ebola (CTE).
Sur le plan de la surveillance épidémiologique, la situation demeure sous contrôle. Sur 1 985 contacts identifiés, 1 941 ont été vus et suivis, soit un taux de suivi de 97,8 %. Les contacts non vus résident majoritairement dans des zones difficilement accessibles. Par ailleurs, le laboratoire a analysé 436 échantillons depuis le début de l’épidémie, dont 53 se sont révélés positifs. Aucun nouveau cas n’a été détecté au cours de la dernière semaine.
Les activités de vaccination se poursuivent activement. Le 03 octobre, 313 personnes ont été vaccinées dans le cadre de la stratégie en ceinture autour des zones à risque. Depuis le lancement de la campagne, 17 966 personnes ont reçu le vaccin contre Ebola. Actuellement, quatre rings de vaccination sont opérationnels dans les aires de santé de Bulape, Bulape Communautaire et Dikolo, avec un stock de 2 660 doses disponibles.
Les efforts de prévention et de contrôle des infections se poursuivent également. Un total de 283 prestataires de soins ont été formés à la prévention et au contrôle des infections avec l’appui de l’OMS et de l’UNICEF. Plusieurs structures sanitaires ont reçu des kits d’hygiène, dispositifs de lavage des mains et matériels de protection. De plus, plus de 73 000 voyageurs ont été contrôlés aux points d’entrée et de contrôle sanitaire depuis le début de la riposte, contribuant à la détection précoce d’éventuelles alertes.
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La situation épidémiologique à la semaine 35 montre une amélioration notable dans certaines provinces, notamment dans les zones de santé de Tshopo, Nord-Kivu, Tanganyika, Kinshasa et Equateur. Toutefois, la létalité demeure élevée dans plusieurs provinces, avec un taux de 28 % dans la Lomami, 20 % dans la Tshuapa, 19 % dans le Sankuru, 6 % dans la Tshopo, et des taux de 4 % et 3 % respectivement dans les provinces de l’Equateur, Maniema et Tanganyika. Par ailleurs, le nombre de cas hebdomadaires reste globalement élevé dans les zones endémiques, dépassant la moyenne habituelle, ce qui indique la persistance d’une transmission active et la nécessité de maintenir des mesures de surveillance renforcée et des interventions ciblées pour limiter la propagation de l’épidémie.
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Situation épidémiologique de Mpox à la SE 35, 2025
Cas | Valeur |
---|---|
Cas Suspects Investigués | 927 |
Cas prélevés | 578 |
Cas testés | 290 |
Cas confirmés | 122 |
Vaccinés (>1 dose) | 642 802 |

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L'institut National de Santé Publique met en oeuvre différents programmes sur toutes l'étendu du territoire national